On travaille sérieusement les abdos, le plus souvent sans s’en apercevoir, ainsi que les autres groupes musculaires des bras, du dos, des fesses et des jambes. L’entraînement est aussi cardio,
avec beaucoup de déplacements, des relevés, des sauts sur une jambe fléchie…
A la clé, plus d’endurance, une meilleure coordination et des muscles toniques dès la fin du premier mois, même si on ne fait qu’une séance par semaine. A condition, bien sûr, de manger équilibré
Beaucoup d’exercices se pratiquent à deux, avec son nouvel ami de tatami. C’est plus ludique et bien plus efficace puisqu’on améliore son équilibre tout en renforçant ses muscles.
D’une part, on se dépense vraiment : on transpire et on brûle des calories, donc on élimine, avec un petit effet «détox» très appréciable.
D’autre part, on se concentre sur la réalisation d’exercices nouveaux, ce qui aide à décrocher. Et ça, il n’y a pas mieux pour évacuer le stress et ressentir un réel bien-être à la fin de la
séance.
Même quand on est fatigué après une heure d’activité physique non-stop !
La plupart des exercices sont fonctionnels et sollicitent les mêmes muscles que ceux qu’on active dans la vie de tous les jours. L’intérêt? «C’est plus facile de se baisser et de se relever quand
on fait régulièrement un travail de gainage, qu’on a bien renforcé les muscles profonds et ceux des membres inférieurs ». Sur le tatami, on travaille la mémoire quand on enchaîne les différents
exercices en circuit training ou dans une mini-chorégraphie.
Et quand on réussit, on booste sa confiance en soi !